Et si la fatigue n’était pas une faiblesse… mais un langage ?
Dans nos rythmes effrénés de dirigeant·e, de manager, de femme engagée, nous avons appris à avancer. Par réflexe. Par exigence. Par loyauté.
Mais parfois, le corps dit stop.
Non pas pour nous punir.
Mais pour nous protéger.
Ces signaux qu’on tait… jusqu’à ce qu’ils crient :
- Une fatigue sourde, qui s’installe sans prévenir
- Un sommeil qui ne ressource plus
- Des tensions physiques qu’on banalise
- Une clarté mentale qui s’éteint peu à peu
- Et ce petit feu intérieur qui vacille, sans qu’on ose le dire
Pourquoi on n’écoute pas ?
Parce qu’on a peur de ralentir. De ne plus “assurer”.
Parce qu’on espère que ça passera.
Jusqu’au jour où… ça casse.
Et si c’était le début de quelque chose d’autre ?
Et si ce STOP imposé… était une porte ouverte ?
Un point d’ancrage pour faire autrement.
Un appel à revenir à l’essentiel. À soi. Pas pour tout plaquer. Mais pour se réaligner, avec conscience.
3 élans pour réécrire l’après...
- Créer un rituel de présence
→ 5 minutes par jour. En silence. Pour respirer. Pour se retrouver. - Nommer ce qui est là
→ Fatigue, colère, vide... Mettre des mots, c’est déjà commencer à se libérer. - Demander du soutien
→ Être accompagné·e, ce n’est pas une faiblesse.
C’est un acte de lucidité. Une force posée, consciente.
En conclusion :
Votre corps n’est pas un obstacle à votre ambition.
C’est un allié, un messager, un guide vers ce qui est juste.
Et si vous choisissiez de l’écouter…non pas comme un signal d’alerte, mais comme une invitation à renaître à vous-même — avec plus de clarté, plus de paix… et une puissance tranquille.